After spending 36 hours in Montpellier, the New York Times quoted Baudon as its favorites accommodation…
Après avoir passé 36 heures à Montpellier, le New York Times cite Baudon dans ses hébergements favoris…
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Nous pensons que tout dure, nous ne voulons pas voir que tout ce qui est vivant va mourir.
Un jour, il y a 14 ans maintenant, Baudon a commencé sa vie d’hôtel comme un adolescent rempli de rêves et de projets. Pendant 14 ans il s’est agît de magnifier un trésor d’architecture du XVIII et de le transporter au XXI siècle dans un esprit raffiné, luxueux et discret. Il s’est agît de peaufiner, de lustrer, d’améliorer chaque jour ce joyau, ses équipes, ses fournisseurs, ses partenaires pour que l’ensemble des acteurs s’imprègnent de ce qu’il fallait penser, dire, faire pour que les clients perçoivent un ensemble à la hauteur de Baudon. Une accumulation de détails parfois insignifiants qui ont constitué un tout qui valait le déplacement puisque nos clients sont venus du Monde entier.
De la Finlande à la Tasmanie, du Japon en passant par la Corée, l’Afrique du Sud comme le Nigéria, Bahrein ou la Jordanie, les pays d’Amérique du Sud comme du Nord sans compter nos voisins continentaux d’Europe, et français bien entendu. Plus de 100 nationalités différentes ont ainsi savouré le parfum de Baudon. Seuls ceux qui l’ont éprouvé se rappelleront de sa saveur tout à fait singulière.
C’est fini, est-ce triste ? Certainement, mais c’est aussi une façon de nous rappeler que rien ne dure qu’il faut simplement être conscient de ce que l’on vit, et que toute fin est aussi le début d’une autre histoire.
Merci
NB : le parfum de Baudon n’existe pas réellement, pourtant chacun de nous en diffuse des effluves là où il se trouve, chut….